C'est le constat que je fais aujourd'hui.
Je suis confrontée chaque jour à la difficulté des gens à être eux-mêmes. Ce qui implique qu'il soit plus facile et confortable de ne pas être soi. Constat horrible.
Il serait plus facile d'être à côté de ses pompes, d'avoir une sexualité bof, une vie affective angoissante que s'affirmer et s'assumer.
La plupart des gens sont dans un état de survivance. C'est à dire qu'ils sont proches de la mort, la mort les guette et dans cet état, peu est déjà assez.
Cela est dû à une histoire communautaire où "plus" n'était pas envisageable. Un esclave n'aspire plus à vivre, il est déjà heureux de survivre tout en sachant qu'espérer peut être mortel.
C'est aussi lié à une éducation, un dressage malsain où l'autorité extérieure prévaut sur tout ce que tu pourrais vouloir, comprendre, sentir.
Comment peux-tu accepter de rester dans une relation qui t'épuise?
Comment peux-tu déposer ton enfant à l'école en connaissant ses conflits quotidiens?
Comment peux-tu tolérer la frustration sexuelle?
Comment peux-tu maltraiter ton corps ainsi?
Comment peux-tu vivre dans un environnement qui ne contribue pas à ton bien-être?
Etre soi, c'est vivre! Tu as choisi de venir au monde pour vivre pas pour être une personne que tu n'es pas! Comment peux-tu passer ta vie sur terre à être une ombre conciliante?
Je t'invite à honorer la vie en toi. Pas le système, pas une autorité quelconque, pas une tierce personne, pas une relation, mais toi avant tout le reste.
De toi à moi, te sens tu pleinement vivre? Te lèves-tu chaque matin avec enthousiasme? Agis-tu toujours par conviction ou par obligation? Prends tu tes décisions par amour de la vie ou par peur de la mort?
Vraiment, prends ce temps de réflexion.
Pense à toutes ces choses qui se semblent trop difficiles à faire alors que tu sais qu'elles seraient utiles à ton épanouissement. Ce choix que tu fais de les repousser, quand tu y renonces, tu renonces à la vie. Tu entretiens ton agonie alors que la bouteille d'oxygène est à portée de main.
Oui ça pourrait être plus ou moins compliqué, mais la seule question est de savoir si tu estimes mériter les résultats positifs que certaines décisions pourraient engendrer? Si tu avais eu peur de la mort, tu ne te serais jamais engagé dans ta propre naissance. Qu'est ce qui s'est brisé depuis?..
C'est trop difficile d'envisager ta vie sans lui? Donc tu estimes plus confortable de souffrir à ses basques pendant plusieurs années encore?
C'est trop difficile d'envisager te lancer dans ce projet professionnel? Donc tu estimes plus confortable de te laisser exploiter à ce poste? De laisser ton système neuronale se rabougrir au profit d'une institution qui aura vite fait de te remplacer si jamais tu craquais?
J'insiste mais il est temps que tu te poses ces questions, ne serait-ce que par respect pour toi-même. Tu dois te confronter à ce mal qui te ronge de l'intérieur: un esprit de mort. Cet esprit qui fait affectionner la misère sous toutes ses formes. Cet esprit qui te fait tolérer la médiocrité dans ta vie.
Quand un cercueil, qui te prive de mouvement, de mobilité, de perspective, de visibilité, devient ta zone de confort, tu as vraiment des questions à te poser sur tes priorités.
Je te lance un défi, si tu lis cet article aujourd'hui mardi 23 mars 2021. Décide quelque chose de fou, de vivant, pour les jours qui viennent! Ose quelque chose hors de ta zone de confort, hors de ton tombeau!
Ose!
Et moi je te propose une journée de coaching pour commencer à briser les planches de ton cercueil. J'offre une journée gratuite à 5 personnes maximum avec qui je n'ai jamais travaillé et qui me partageront un challenge vraiment déraisonnable.
Tu as toujours eu peur? Alors profite de cette perche que je te tends aujourd'hui.
Tu as besoin de réfléchir? Et si tu mourrais physiquement demain?....
Tu as quelques heures pour prendre une grande inspiration!
Contacte moi vite...
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